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LA TRANS-HIMALAYENNE 2003           

 

Traversée de l’Himalaya indien

entre Manali (Inde) et Leh (Ladakh)

du 1 au 31 juillet 2003

pour le soutien de la cause tibétaine

 

 

 

"Se résigner, c'est donner prime à la violence,

c'est tolérer l'intolérable,

se croiser les bras au lieu de réagir"

Tensin Gyatso, 14e Dalaï-Lama

 

 

è Grand merci à notre partenaire pour son aide :  « LA CITE DU SOLEIL DE RAYMOND LEGER »

Raymond LEGER s'associe cette année à la démarche culturelle de L’association Trans-Himalayenne pour la défense de la cause tibétaine. Dans la vallée de la rivière Zanskar, au nord de l'Inde, les gens sont très pauvres  et ne peuvent jamais remplacer leurs carreaux et vitres cassés. De ce fait, ils souffrent alors fortement du froid l'hiver.
Il fournit à cette occasion du film technique solaire à titre expérimental dans l'espoir d'apporter une solution simple et durable

Pour plus d’informationd rendez_vous sur son site : http://www.lacitedusoleil.com/

 

 

Contact :

Association TRANS-HIMALAYENNE

Mr Benjamin LISAN

16, rue de la Fontaine du But - 75018 PARIS

tél : 01.42.62.49.65 / 06.16.55.09.84

e-mail : benjamin.lisan@free.fr


Sommaire

 

 

1             Buts généraux et pratiques de la marche

 

2            Les raisons de cette marche

 

3            L’association Trans-Himalayenne

 

4            L’organisation de la marche

 

5            Planning de la marche

 

6            Budget de la marche

 

7            Conditions d’inscription

 

8            Projets sur la marche

 

9            Collaborer / aider ce projet

 

 

__________________________________________________________


1 – Buts généraux de la marche

 

       Les milliers de témoignages sur la situation passée et actuelle du Tibet ne peuvent que nous attrister ou nous bouleverser. On découvre que ce qui se passe au Tibet est bien pire que ce qui s’est passé au Timor Oriental, et ce malgré la chape de silence que la Chine tente d’imposer sur le Tibet depuis son invasion en 1950.

Peut-on laisser disparaître une culture, dont le message principal est celui de la non-violence ? Peut-on accepter la transformation du Tibet en colonie chinoise, au détriment d'un peuple installé depuis plus de 1000 ans ? Comment tolérer la disparition, par la violence, d’1/6 de ce peuple entre 1950 et l’an 2000, sans aucune réaction internationale ? Non, nous ne pouvons nous y résigner, même si les Cassandre affirment que le Tibet est une cause perdue. C'est pourquoi nous avons imaginé une marche coup de cœur pour un peuple martyr.

 

La Transalpine tibétaine 2000 et Transhimalayenne 2002 :

 

       Participant à la Transalpine Tibétaine de l’été 2000, nous avons été plusieurs à vouloir renouveler cette expérience en 2002 dans l’Himalaya. Cette marche 2002 a traversé l’ancien royaume du Ladakh, au nord de l’Inde.

 

       La Transhimalayenne 2002 était un message fort à l'attention du Monde et de la Communauté Tibétaine, un geste désintéressé, un véritable don de soi pour les autres, par une marche, sur le modèle d'un pèlerinage, où symboliquement les occidentaux partagent les souffrances des Tibétains sur les chemins de l'exil.

 

       Elle a témoigné et a interpellé les médias sur la situation des droits de l'homme au Tibet, la disparition des écosystèmes et de la faune de cette région, la destruction d’un patrimoine millénaire, le pillage des richesses religieuses et minérales.

 

La Transhimalayenne 2003 :

 

       La Trans-Himalayenne Tibétaine 2003 partira vers 5 juillet 2003 de Manali, fera la grande traversée du Zanskar, de Darsha à lamayuru, pour arriver vers le 25 juillet à Leh. Elle ira à la rencontre des zanskaries.

 

      La marche est laïque et ne sert pas à la promotion du bouddhisme ou d’une quelconque religion. Elle défend des valeurs républicaines (droit de l’homme, droit des peuples à disposer d’eux-mêmes), des idées de solidarité entre les hommes, de soutien à toute culture pacifique et respectueuse des autres, de défense des écosystèmes en danger.

Le but de cette marche n’est pas de battre des records. Au contraire, elle se veut un lieu de rencontre, d’échange entre les marcheurs et les populations rencontrées sur notre trajet.

 

Elle est ouverte à des personnes de toute religion, de toute "couleur", de toute culture, motivées pour la cause de la Paix, prêtes à affronter les éléments naturels (climat, paysages escarpés), ayant l’esprit de solidarité, acceptant les règles de vie, d’hygiène et les conditions géopolitiques du pays et des régions traversés.

Elle renouvellera l’expérience de fraternité de la Transalpine Tibétaine et de la Transhimalayenne 2002.

 

Elle témoignera de l’amitié et de la solidarité des marcheurs occidentaux avec les Tibétains. Ceux-ci, dont le nombre sera limité à 20 pour des raisons de sécurité, seront encadrés par plusieurs guides locaux.

 

Cette année la marche sera plu courte : la grande traversée du Zanskar se fera en une vingtaine de jours.

 

Nous cherchons à pérenniser l’événement de la Transhimalayenne,  en changeant chaque année de trajets mais en conservant d’une année à l’autre, le concept d’une rencontre avec les Tibétains, d’une marche avec les Tibétains.

 

 

Les buts pratiques

 

1) Aller à la rencontre des Tibétains
Apprendre leur culture et leurs traditions, leurs habitudes et coutumes pour mieux les comprendre.

 

2) Apporter notre soutien moral aux Tibétains
Les informer sur les actions faites en occident pour la défense de leur cause (manifestations, actions des ONG, soutien des prisonniers politiques au Tibet, pétitions envoyées au gouvernement chinois, actions menées par le groupe parlementaire Tibet etc...). Leur montrer qu'il ne sont pas oubliés. 

 

3) Faire un film sur la marche et les Tibétains
En effet, nous n’avons pu faire le film prévu sur la marche 2002. Et nous comptons le réaliser en 2003 sur la marche et les Tibétains.

 

4) S'impliquer dans une expérience de fraternité entre marcheurs
- s’aider mutuellement,

- recueillir les besoins des Tibétains et Zanskaris
- réaliser des actions humanitaires (l’action "fenêtres" à destination des Zanskaris …).

 


2 – Les raisons de cette marche

 

  La marche a pour but d’attirer l’attention des instances internationales et du public sur :

l le développement d’une vaste catastrophe écologique depuis 40 ans au Tibet

l la destruction du patrimoine artistique et religieux du Tibet

l la disparition à court terme (5 à 10 ans maximum) de la culture et de la langue tibétaines

l la colonisation économique par les Chinois du Tibet depuis plus de 50 ans, au détriment de la population tibétaine originelle.

l les moyens employés pour réaliser cette colonisation, suscitant les préoccupations légitimes des instances internationales au sujet des violations répétées des droits de l’homme

 

2.1              Une catastrophe écologique

 

            La destruction des forêts de l’Himalaya depuis l’Antiquité est un phénomène connu des scientifiques. On a montré, notament lors de fouilles archéologiques au Népal, que de nombreuses vallées actuellement désertiques étaient couvertes de forêts au Moyen-Age. Mais, dans le cas particulier du Tibet, grâce à l’influence de la philosophie bouddhiste tantrique diffusée au niveau de toutes les couches de la société féodale depuis le haut Moyen-Age, et à cause de certains tabous, une préoccupation de préservation de la vie contribuait à la sauvegarde de la faune sauvage et des forêts (lire « Sept ans au Tibet » d'Henrich Harrer).

Or, depuis l’invasion chinoise, une destruction accélérée de ces forêts s’est mise en place et, en 1993, plus de 40% des forêts primaires étaient rasées (hautes futaies). Elle a provoqué des crues dévastatrices des fleuves au Bangladesh et en Chine et l’érosion irréversible des terres locales (Tibet Environnement Développement, Eco-Tibet-France, 1993). 85 % à l'heure actuelle.

 

Le Tibet est une région essentiellement désertique ou steppique à l’écosystème fragile. Les expériences agricoles désastreuses et non contrôlées, l’immigration massive des Chinois, la chasse non contrôlée ont pour conséquence la destruction aussi de sa faune rare : yacks sauvages, ânes sauvages, antilopes tibétaines, moutons d’Argali, panthères et léopards des neiges, grues à cols noir …

 

L’exploitation sans contrôle des richesses du sols (chromites, charbon, pétrole, plomb, zinc, cuivre, or, uranium, lithium), jamais exploitées pendant des siècles par les Tibétains à cause de tabous religieux, et le stockage, sans respect des règles internationales, de déchets nucléaires militaires et civils ont des impacts sur l’environnement, comme l’empoisonnement des rivières tibétaines et asiatiques par les métaux lourds et la radioactivité. La découverte récente d’importants gisement de pétroles au Tibet, exploités par BP et des immigrants chinois, font craindre le pire.

 

2.2            Destruction du patrimoine artistique et religieux du Tibet

 

Avant 1949, le Tibet, un des seuls régimes théocratiques du monde, était dominé par les autorités religieuses du pays. Les monastères riches et puissants recelaient d’extraordinaires trésors artistiques. Dès 1959, les Chinois ont fait fermer et abandonner la plupart des sites religieux. Puis la révolution culturelle a provoqué la destruction de plus de 6000 monastères, avec leur bibliothèques, entraînant la destruction irréparable de toute l’histoire littéraire et religieuse du Tibet.

 

Après 1979, la Chine a restauré 13 monastères et le Potala (l’ancien siège du Dalaï-Lama), mais essentiellement pour des raisons touristiques. Un grand nombre de fresques et d'œuvres artistiques ont disparu et la plupart n’ont pu être reconstitués ou restaurés, du fait de la disparition des moines artistes.

 

2.3            Disparition de la culture et de la langue tibétaines

 

80 % des Tibétains sont illettrés. A l’école primaire, l’enseignement du tibétain est découragé et seul le chinois est enseigné pour accéder aux études supérieures. Toutes les tâches administratives sont en chinois. On a pu observer que les jeunes Tibétains réfugiés récemment ne parlent que chinois ("Tibet en Exil, entre mythes et réalités", Pierre-Yves Ginet, Editions Golias, 2000).

 

Le gouvernement chinois empêche toute possibilité d’apprendre le bouddhisme, fondement de la société tibétaine. En 1999, à Lhassa, Chen Kuiyuan, secrétaire du Parti Communiste au Tibet prétendait que « le bouddhisme est une culture étrangère importée de l’Inde, et l’idée que la culture tibétaine est bouddhiste constitue une absurdité », contredisant les 1000 ans de présence du bouddhisme au Tibet.

 

La perte d’une langue est la perte d’une richesse pour le monde, d’une autre façon de penser, d’une diversité de point de vue, et la perte d’une conception différente de l’univers liée à cette langue.

 

2.4            La colonisation économique et démographique du Tibet par les Chinois

 

Il est difficile, quand on parle du Tibet, de ne pas aborder la délicate question de la politique. A l’image de l’Ecole des guides de Lhassa, tous les postes clés des sociétés et administrations tibétaines sont contrôlés par les Chinois. En raison de la discrimination et de pots de vins, les élèves chinois sont favorisés pour les études supérieures. La pauvreté ne cesse de s’accroître chez les Tibétains, et le nombre déjà important de mendiants tibétains au Tibet ne cesse de s’accroître dans Lhassa et les grandes villes. Les Chinois peuvent confisquer les commerces des Tibétains, ou même les emplacements touristiques commerciaux intéressants.

 

L’accès aux soins médicaux coûte cher pour les Tibétains, qui doivent payer 800 à 1000 yuans pour entrer à l’hôpital, alors que les Chinois bénéficient de la gratuité de ces services. Plus de 55% des enfants tibétains souffrent de malnutrition, entraînant souvent des retards mentaux.

La Chine a procédé à d’importants transferts de population chinoise qui, à la longue, ont fait des Tibétains une minorité dans leur propre pays (Il y a aujourd'hui 5,8 millions de Tibétains contre 7,5 millions de Chinois, alors qu'avant 1949 il y avait 7 millions de Tibétains pour 10000 Chinois).

Pendant ces transferts, les femmes tibétaines sont soumises à un contrôle strict des naissances et sont parfois victimes de stérilisation forcée.


3 – L’association Trans-Himalayenne

 

L’association Trans-Himalayenne, basée 16 rue Fontaine du But dans le 18e arrondissement de Paris, est une association loi 1901 ayant pour vocation d’aider le Tibet à travers des actions sportives, culturelles, sociales et humanitaires.

 

Le bureau se compose de :

 

· Un président : M. Benjamin Lisan, de nationalité française, responsable informatique, né le 9 juillet 1955 à Tananarive (Madagascar), demeurant au 16, rue de la fontaine du but 75018 PARIS.

 

· Un vice-président : M. Michel Assaillit, de nationalité française, guide de montagnes, né le 19 octobre 1961 à Perpignan, demeurant à Le Plan Envers 74660 VALLORCINE.

 

· Un secrétaire général : M. Philippe Mazière, de nationalité française, consultant indépendant, demeurant au 3 rue Lecourbe, 75015 PARIS.

 

· Une trésorière : Mlle Aurélie Nicolas, de nationalité française, journaliste, demeurant au 22 rue du chalet 92600 ASNIERES.

 


4 – L’organisation de la marche

 

Cette marche regroupera 15 Occidentaux et peut-être 4 Tibétains, qui seront encadrés par deux guides locaux. Nous nous engageons à faire travailler les populations locales selon des règles d’échanges équitables.

L’accent sera porté sur la simplicité de l’organisation, la solidarité, la fraternité, le faible coût de la marche afin de la rendre réalisable, l’autonomie des marcheurs, l’aspect humanitaire et la sécurité de l’expédition. L'organisation de la marche doit être un travail collectif et solidaire, au niveau tibétain, comme avec les Occidentaux qui soutiendront ou participeront à la marche.

 

D’un point de vue logistique, il est prévu de désigner différents responsables qui auront pour charge de veiller à :

l         la trésorerie

l         les relations avec les autorités

 

Les questions suivantes seront de la responsabilité de l’agence de trek tibétaine de Manali Shangrila Adventurers, celle que nous avons déjà choisie l’année dernière :

 

l      le ravitaillement (achat de denrées, cuisine)

l      l’hébergement

l      le transport (location d’un ou deux 4x4 et de son/leur conducteur(s), ravitaillement en essence, pièces de rechange du 4x4, une vingtaine d’animaux de bâts _ chevaux)

l           la sécurité et la propreté des sites

 

Il est également prévu qu’un médecin ou un infirmier participe à la marche pour pouvoir encadrer les participants et s’occuper de la pharmacie (y compris de la pharmacie vétérinaire).

 


5 – Planning de la marche

 

La marche est préparée par Benjamin LISAN, coordinateur du projet côté français et Tsering DORJEE ayant une forte expérience d’organisation de treks directeur de Shangrila Adventurers.

 

Le planning ci-après tient compte des possibles retards ou changements de trajet.

 

l           1ER JOUR : mardi 1 ou mercredi 2 juillet : départ en avion, le matin, de Paris Roissy pour les marcheurs français ; arrivée la nuit à Delhi et nuit à Majnu-Ka Tilla, quartier tibétain de Delhi.

l           2e JOUR : 2 juillet, Repos ou tourisme à Delhi.

l           3e JOUR : Jeudi 3 juillet : Repos ou tourisme à Delhi. Départ en bus à 18h de Majnu-Ka Tilla (Delhi) pour rejoindre Manali (15 heures de trajet ; arrivée à 6h).

l           4e JOUR : Vendredi 4 juillet : jour de repos à Manali et rencontre avec la communauté tibétaine de Manali.

l           5e JOUR : Samedi 5 juillet : départ à 8h de Manali (1700 m), où on prendra un bus pour Darsha. (arrivé à midi). Une demi-journée de repos.

 

De Darsha - Lamayuru :

 

Trajet par Darcha, Pa-lahmo, Ramjak, Chumik Nakpo, Gompo Rangdum, Lamayuru

 

6e au 24e JOUR : trek jusqu'à Lamayuru qui se déroule en deux parties : après le passage du rugueux col du Shingola à près de 5 000 m, resdescente dans la vallée du Zanskar et visite de ces merveilleux villages et monastères (Mune et Phuktal) jusqu'à Padum, modeste "capitale" de ce mini royaume. La seconde partie plus accidentée mais très spectaculaire gravit trois cols à plus de 4 000 m avant de rejoindre le bassin du fleuve Indus.

 

 6e JOUR : Darsha - Rarik - Campement (4-5 h)

 7e JOUR : Campement  - Ramjak (6-7 h)

 8e JOUR : Ramjak - Shinkun-la - Camp de Gumburanjon (8-9 h)

 9e JOUR : Camp de Gumburanjon - Table (6 h)

10e JOUR : Table - Purne (6 h)

11e JOUR : Purne - Phuktal - Ichar (10 h)

12e JOUR : Ichar - Mune ou Bardan Gompa  (5 ou 7 h)

13e JOUR : Mune ou Bardan Gompa  - Padum (3 ou 5 h)

14° JOUR : repos à Padum

15e JOUR : Padum - Karsha (2-3 h)

16e JOUR : Karsha - Pishu (5 h)

17e JOUR : Pishu - Hanumil (5 h)

18e JOUR : Hanumil Parfi-la - Snerte (6 h)

19e JOUR : Snertse - Hanuma-la - Lingshed (7 h)

20e JOUR : Lingshed - Pied du Sengge-la (6 h)

21e JOUR : Pied du Sengge-la - Sengge-la - Photoksar (7 h)

22e JOUR : Photoksar - Sirsir-la - Hanupatta (6 h)

23e JOUR : Hanupatta  - Wanla (5 h)

24e JOUR : Wanla - Lamayuru (3 h)

 

De Lamayuru à Leh

 

25e JOUR : arrivée à Lamayuru et continuation en car jusqu'à Choglamsar ou Agling.

26e JOUR : repos et rencontre de la communauté tibétaine.

27e JOUR : matin : suite rencontre de la communauté tibétaine. APM : visite de Leh.

28e JOUR : matin : marche symbolique avec les Tibétains d'Agling à Leh.

           APM : visite des environs de Leh _ monastères de Shey, Thiksey et Hemis.                

 

De Leh à Delhi

 

29e JOUR : vol Leh-Delhi.                             

30e JOUR : journée libre à Delhi.                  

31e JOUR : continuation sur Paris.                     

(pour 10 à 16 personnes).                                   

 

LE PRIX COMPREND :

• le transport aérien Paris/Delhi A/R

• les transports Intérieurs en car et/ou avion (Delhi/Leh).

• l’hébergement en hôtel standard ou chez l’habitant (à Delhi, Manali et Leh)

• l'organisation complète du trek avec portage des bagages (15 kg par personne)

• le personnel d'accompagnement sur le trek:

  les guides, les cuisiniers, les muletiers ...

 

Il ne comprend pas :

• l’assurance • les pourboires

 

Note: les retours Leh-Delhi se font nécessairement en avion.

 

Cependant en fonction des aléas climatiques et opérationnels de cette liaison,

un retour par la route peut être envisagé (le programme serait écourté).

 

 

 

 


6 – Budget de la marche

 

Budget estimé sur la base de 15 marcheurs et de 20 jours de marche (en € Euros), hors matériel collectif et individuel.  Ces montants sont susceptibles d'être revus.

 

 

Budget par personne (TTC) pour la Transhimalayenne 2003

 

AVION                                      : 695 € ou selon choix du participant

Trek ( 20 jours)                         : 440 €  (basé sur le prix de 22 € par jour et par personne)

Dépenses ors trek                     : 348 €

 

Sous total                                 : 1483 €

 

Assurance                                 : 17 €

Equipement spécifique ( tente) : 120 €

 

Total                            : 1620 €

 

 

Que chacun prévoit une marge de sécurité dans son budget personnel (par exemple 380 € par personne) en cas d’accident ou pour toutes sortes de problèmes.

 

La participation de marcheurs Tibétains :

 

Selon l’accord de la réunion Transhimalayenne 2003, du jeudi 6 mars à Paris :

« Chacun accepterait  une augmentation de 150 €  environ de son prix de trek pour pouvoir faire participer 2 à 4 Tibétains.  Chacun essayera de trouver des sponsors pour le financement de ces Tibétains. »

 

7- Conditions d’inscription

 

·         Etre motivé pour les Tibétains et leur cause.

·         Verser 20 € de cotisation.

·     Verser 200 € d’arrhes pour la partie trek (pour éviter les désistements de dernière minute).

·     Etre en excellente santé physique et intellectuelle.

·     Etre entraîné sportivement et participer aux marches d’entraînement et de rencontre en France (2 marches sont prévues dans les Alpes françaises).

 

8 – Projets sur la marche

 

Selon les financements que nous récolterons, nous avons plusieurs projets.

 

Projet de film sur la marche :

 

Thèmes qui pourraient être traités :

  1. le thème de l'amitié et de la fraternité durant la marche, avec la préoccupation d'observer les populations, et voir comment les aider, sur la partie Zanskar _ ce film montrant l'amitié, que quelles que soient les difficultés et les souffrances dans la montagne,
  2. le thème humanitaire, avec par exemple la mise en oeuvre du projet de film Technique révolutionnaire pour couvrir les fenêtres face au rigueur de l'hiver (des -40 °C) au Zanskar 
  3. le thème de notre amitié pour les Tibétains, avec une rencontre demandant aux Tibétains en exil et au gouvernement en exil leurs besoins, à Manali ou Dharamsala.
  4. Interviews d’ex-prisonniers politiques et présentation du GU CHU SUM association des ex-prisonniers politiques.

 

Projets humanitaires :

 

Raymond LEGER s'associe cette année à la démarche culturelle de L’association Trans-Himalayenne pour la défense de la cause tibétaine. Dans la vallée de la rivière Zanskar, au nord de l'Inde, les gens sont très pauvres  et ne peuvent jamais remplacer leurs carreaux et vitres cassés. De ce fait, ils souffrent alors fortement du froid l'hiver.
Il fournit à cette occasion du film technique solaire à titre expérimental dans l'espoir d'apporter une solution simple et durable

Pour plus d’informationd rendez_vous sur son site : http://www.lacitedusoleil.com/

 

Projet film technique pour les fenêtres des maison du Zanskar

 

Dans la vallée de la rivière Zanskar, au nord de l'Inde, les gens sont très pauvres  et ne peuvent jamais remplacer leurs carreaux et vitres cassés. De ce fait, ils souffrent alors fortement du froid l'hiver. Les températures sont très basses l’hiver : -20 °C à –40 °C en hiver malgré un très fort ensoleillement, très favorable au solaire. Dans ces région, il pleut très peu.

L'hiver, il y a des -40 °C, voir des tempêtes (avec parfois de forts blizzards de neige).

 

Un film à la résistance exceptionnelle _ une sorte de Mylar de 50 µ d’épaisseur, très souple, fin, très résistant _ pourrait résoudre le bris fréquent de carreaux en verre des maisons de ces régions. Ce film peut être aussi utilisé pour les fours et panneaux solaires.

Ce film a été entièrement financé par notre partenaire « Bienfaiteur »

 

TIBET CHANNEL

 

Projet de télévision satellite pour développer les cultures tibétaines et les rendre extrêmement vivantes et faire une télévision scolaire en Tibétain.

 


9 – Collaborer / aider notre projet

 

Aider la Trans-Himalayenne, c’est associer votre nom ou votre association à une action de solidarité à laquelle ne manqueront pas de faire écho un large public.

 

Vous pouvez nous aider de différentes manières, en aidant à réaliser :

· une campagne de presse engagée plusieurs mois avant la marche pour annoncer l’événement et qui se prolongera tout au long de celui-ci. Une recherche des journalistes et journaux susceptibles de soutenir la cause du Tibet.

 

· un documentaire devant être réalisé pour la télé par un journaliste-photographe qui participera à la marche. Nous recherchons deux caméramen _ si possible spécialistes du numérique, dont l’un réalisateur _ et un preneur de son. TRES URGENT !

Nous leur financerons entièrement leur voyage. Ils auront un salaire raisonnable mais correct.

 

· apporter un soutien financier ou une aide matérielle technique (tentes, cordes …). Le matériel recherché est décrit dans le "dossier du marcheur". Obtenir des sponsors. Vous pouvez déjà cotiser à l’association. La cotisation annuelle à l’association est de 20 € (euros) par an.

 

· obtenir des médicaments, pour l’expédition et pour des dispensaires au Ladakh et Zanskar.

 

· obtenir un médecin ou infirmier pour la marche.

 

· obtenir des affaires scolaires ou des financements pour les écoles du Ladakh et Zanskar.

 

· établir un lien permanent avec les autres associations tibétaines sur la France, notamment la trentaine d'associations qui soutiennent aujourd’hui la cause tibétaine en France et qui rassemblent près de 5000 adhérents. Et établir un lien anglais permanent avec les principales associations tibétaines en Inde (TYC, GU CHU SUM, Friend of Tibet …) et celles du monde.

 

· trouver un éditeur pour un journal de bord tenu tout au long de la marche dans le but d’être publié à notre retour en France. Des contacts sont à prendre avec certains éditeurs avant la marche.

 

… MERCI DE VOTRE AIDE.